Analysis Of Automne Malade

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Automne Malade, un poème d’Apollinaire présent dans son recueil Alcools, publiée en 1913. Il devient l’ancêtre de la poésie moderne. Ce poème n’a pas été publier avant le recueil Alcools, mais on a pu trouver des brouillons écrient du même poème par Apollinaire lui même en 1902, c’est a dire avant la publication du recueil de 11 ans. Le thème « automne » n’avait seulement été traité dans ce poème, mais aussi dans d’autres dans le même recueil, Rhénane d’automne par exemple. Dans Automne Malade, le thème lyrique traditionnel est aussi présent, exactement comme dans tout les autres poèmes du recueil. Il serait donc très intéressant d’étudier comment Apollinaire fait-il preuve de modernité et originalité dans son poème. Au premier lieu, nous …show more content…

Apollinaire s’intéresse clairement a la mort de l’automne, il utilise donc plusieurs termes qui suggèrent la mort de la saison ; « Automne malade » , « tu mourras » , « meurs » . D’autre part, l’auteur nous montre la beauté de cette saison, il utilise donc de nombreux termes qui montrent la splendeur de cet saison ; « fruits » , « fruits mûrs » , « roseraies » et « richesse » . L’auteur introduit ensuite l’hiver. Il utilise d’autres expressions pour le présenter comme destructeur ; « blancheur » , « aurait neige » . La neige va donc détruire l’automne et la beauté de sa nature, tout va devenir blanc et pas de fruits comme décrit par Apollinaire : « des éperviers planent» . Dans le dixième ver, l’auteur réintroduit la menace de l’automne par l’hiver en disant « sur les nixes nicettes aux cheveux vert et naines » . Dans la mythologie allemande, les nymphes d’eaux, on des « cheveux vert » , cette couleur est donc la couleur de la …show more content…

Ils passent par : 9, 15, 6, puis 4 syllabes. Sa créer une sorte de tempête qui commence très grande et qui se réduit. Cette idée est renforcer par l’emploie du champ lexicale du froid, (neige, verger etc.) qui eux symbolisent a leurs tour une tempête. Les syllabes illustrent donc les conditions de la nature présente dans cette partie du poème. Dans la dernière strophe contenant 10 vers, il y a une régularité dans le nombre de syllabes « les feuilles/ qu’on foule/ un train/ qui roule/ la vie/ s’écoule ». Le rythme est régulier, pour montrer la fin de l’automne, la fuite du temps et les feuilles qui

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